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Il est parti avec elle, elle qui était mon amie. Il m'a laissé dans ma peine, cette peine affreuse qui me suit, cette dépression et toutes ces tentatives pour m'échapper.
Tellement de souffrance mais sans lui, la boîte des petits cachets blancs m'appelle. Ceux qui me sont interdis parce qu'ils m'ont déjà envoyer là-bas, à l'hopital.
Mais les nuits sont dures et affreuses, des rêves de bonheur me hantent sans que je puisse comprendre pourquoi.
Quand il était été là, j'oubliais dans ses bras....
Maintenant, je vais....
Toute est une question de sentiments
Et voilà c'est repartit... C'est le désordre dans ma tête, et mon cœur joue de l'harmonica. C'est pénible je vous jure. Je les sent encore ses larmes qui me brûles les joues. Et cette question qui passe son temps à me hanter. Comment peut on être avec quelqu'un, vouloir des enfants mais pas avec cette personne? Et pourtant on parle, on parle et on parle encore d'avenir. A croire que c'est mieux d'enfouir la vérité sous des paroles qui ne blessent pas. Et bien moi je les aimes ses paroles qui blessent. Oui bien sur que je les aime! Je préfère les apprendre de suite que quelques mois plus tard et qui plus ai de la bouches de quelqu'un d'autre. Et vous réagissez comment après avoir appris des choses pareils. Alors que vous pensiez que sa lui avait passé. Et bien peu importe l'endroit vous tentez de faire un sourire bien heureux, qui je vous l'assure, ressemble plus a une grimace nostalgique qu'a autre chose! Et vous finissez par avoir l'air con avec un sourire comme ça. Le top du top c'est encore juste avant une sortie qui était censé être l'éclate du siècle! Si je me cogne la tête sur un mur sa me rendra moins idiote?
Fin de mon ébauche sur mon humeur du moment, je vous salue.
Ne pas confondre vitesse et précipitation ... je crois que c'est mon plus gros défaut.
17h46 : je viens d'apprendre que le poste dont je rêve ne sera pas pour moi.
Et comme ce ne sera pas moi, il existera pas ... cool ...
Sauf que dans 3 semaines, je rempile pour 3 ans dans un truc qui me fait autant envie que de m'allonger sur une planche de fakir ...
Tout ca parce que j'ai pas su attendre ...
Et j'ai battu mon record : 42 h de travail effectif en 3 jours ^^
Je me rends compte que ca va pas dans ma vie quand j'en arrive à poster ici ... Et si quand je viens poster je me rends compte que les derniers posts sont de moi .... Ahgggggggggggr !!!!
Voilà 6 jours de vacances ... et sur ces 6 jours : une journée entière de boulot et ce soir un SMS qui me dit que je suis convoquée mercredi matin sur un projet que je n'ai pas commencé ...
2 choix : - soit je me gache ma journée de vacances (soit 2 sur 6 soit 1/3 cool ...)
-soit je me fais éclatée mercredi ...
Quoiqu'il en soit mes vacances viennent de prendre faim ...
Si j'avais su j'aurai refusé le plaid sur les bateaux mouche hier soir ... pour avoir 40°C de fièvre mercredi lol
Moi je triche, je poste dans blabla ;)
Sinon, tu ne peux pas trouver un autre moyen d'avoir 40° de fièvre d'ici mercredi?
En tout cas, pour ce que ça vaut, les quelques ondes positives qu'il me reste ce soir, je te les envoie ;) Courage!
... aller dehors ce soir (alerte grands vents) les cheveux mouillés et en débardeur
... fricoter avec quelqu'un de malade
... se faire injecter la grippe
... prétendre d'être malade
... manger des tas de trucs périmés pour l'intoxication alimentaire
Si ça peut t'aider à être malade, je peux toujours reprendre mes ondes :), on les remplace par plein de miasmes ou autre truc pathogène dans le genre (mais pas trop, un truc qui se déclanche mercredi et qui finit vendredi au plus tard, pour être d'attaque pour le week end)
Est ce que ces choses là viennent toujours par deux?
Un genre de cycles ou je ne sais pas...
Pourquoi ces 5 dernières années la moitié des appels de ma mère sont pour m'annoncer le pire? La plupart se finissent dans un hôpital... Maintenant j'ai peur de décrocher si je ne sais pas pourquoi elle m'appelle.
Un vendredi soir, une crise cardiaque
Un samedi après midi, une deuxième crise cardiaque
Un vendredi matin 9h, un AVC
Un dimanche après midi, un AVC
....
La prochaine fois je ne décroches pas...
Plongée ce soir dans un terrible dilemne :
- essayer de la faire revenir à la raison et lui prouver moi qu'elle fonce droit dans le mur.
- risquer de perdre la confiance qu'elle a encore en moi en informant les personnes compétentes...
Lea ... le fait de l'écrire ca a du te soulager 2 minutes .
Suivre ton coeur ... facile à dire ... penser à elle avant tout.
Parfois dans la vie on se dit qu'on a bien de la chance avec nos petits soucis. En te lisant, j'ai relativisé les miens.
Bisous
Je ne connais ni les tenants ni les aboutissants donc ma "réponse" est surement sans valeur...
Mais je crois que toi même en écrivant ces mots tu connais la réponse à ton dilemne. Tu parles de perdre sa confiance, même si c'est dur ne vaut il mieux pas risquer sa vie plutôt que plus grave?
Je peux me tromper complètement et tu ne venais peut être pas chercher conseil ici mais juste un moyen d'évacuer. Mais tu as quand même le mien ;-)
Et puis tu sais mon oeil est toujours aussi performant ^^
Que le temps s'arrête.
Que le temps remonte
Que cette douleur ne m'atteigne plus
Que ces larmes remontent
Que cette faiblesse me fuit
Que je redevienne moi
Vite ...
A chaque mouvement, je sens la lame s'enfoncer, découper les chairs, le sang couler.
Je voudrai savoir de quel métal je suis fait pour être aussi peu résistante, pour me déformer autant et souffrir jusqu'à l'infini et au delà.
Un matériau de récup qui s'effrite. Je le croyais invincible. Il s'ébrèche
Comme de la porcelaine, il ne demande qu'à se fissurer et laisser couler ma sève.
Résister ... Se blinder ...
Gepetto de l'ère numérique, pour Noël, fais de moi un pantin sans sentiments.
D'abord Sofy, puis Léa, Bab, Maya, puis à nouveau Babou, ... je regorge de sérénité et d'équilibre depuis un certain temps maintenant. Ca n'a pas été toujours le cas. Je vous sens errer dans ces méandres que je ne connais que trop bien, mais que j'ai réussi à laisser derrière moi. J'aimerais vous donner de ma force, de ma quiétude, mais je n'y arrive pas. Je n'y arrive pas par les mots. D'ailleurs avec moi ça n'a jamais été une histoire de mots. Toujours une attitude. Qui peut paraître très superficielle, mais qui se veut chaleureuse et entraînante. J'aimerais être avec vous et vous donner de mon bonheur.
Mais je ne suis pas avec vous.
Alors je ne peux que vous répéter : la force n'est-ce pas justement de se remettre en question, d'en prendre plein la gueule là ou les autres seraient totalement insensibles ou ignorants, à choisir ?
Ces temps-ci c'est comme si chaque petit coup de vent pouvait me faire tomber. j'essaye de résister mais les coups de vent se font de plus en plus violents.
Semaine critique
Paralysie
Infection des poumons
Tension artérielle
Les mots s'enchainent et parfois ils semblent ne pas m'attendre. Sauf quand je le vois étendu dans ce lit, sa poitrine se soulève trop rapidement, trop difficilement. Il n'a pas l'air en paix, il n'a pas l'air de ne pas souffrir. Comment puis-je me rassurer? Surtout quand je regarde dans les yeux de mon père et que je vois ce qu'il pense. "Ca pourrait être moi, ça devrait être moi, il souffre comme j'ai souffert".
Alors je comprends Bab tes envies de tout mettre en pause ne serait-ce qu'une seconde. Ou de remonter le temps pour profiter mieux de ces moments où somme toute, tout allait bien.
Dans un autre topic je disais il y a quelques minutes que chaque crise nous fait avancer. Pas toutes en fait.
Mais quand le plus dur de la tempête sera passée tu seras faite d'un acier moins fragile, moins friable. Comme si une nouvelle couche était apparue.
Parfois il faut juste accepter de laisser couler la sève...
Si toutes les crises font avancer.
Certaines sont plus longues, d'autres plus intenses ou plus douloureuses mais elles sont toutes bénéfiques car nous en retirons toujours, nous devons toujours retirer du bon de toutes épreuve. Sans exception.
Le pouvoir des mots c'est de sortir cette douleur et la mettre ailleurs. La ranger pour s'en alléger.
Et quand on se sent moins à l'étroit dedans, la reprendre et la porter de nouveau pour en faire une force de plus.
Pour toutes les crises.
Ce dont je suis sure c'est que ce dernier mois si je n'avais pas tant écrit dans ce quartier j'aurais déjà pété les plombs depuis longtemps.
Ahh Dick est un sacré médecin... ;-)
Sans blague je suis bien d'accord avec ce que tu dis, quand on écrit les choses c'est comme si momentanément elles sortaient de nous. Et Dieu que ça fait du bien!
Parce que je refuse que tout soit si noir
Parce que les gens que j'aime devrait avoir le droit au bonheur
Parce que j'en ai marre de cette grisaille qui a envahit nos vies
Parce que la vie ne peut pas être aussi injuste quand on est si jeune
Parce que l'espoir doit faire vivre
Parce que je voudrai qu'on arrête de s'en prendre aux gentils
Parce que je le demande , l'implore , le supplie ...
@ L'ange en or : Mon désarroi stupide me fait mettre un genou à terre mais grâce à toi, l'autre reste solide. Pour celui qui doit se battre pour bien plus. Plein de pensées pour toi.
... pour faire passer le tout, parce que j'en ai marre, vraiment marre que les choses qui me blessent tombent toujours toutes en même temps et s'ajoutent les une aux autres, comme si c'était pas suffisant une, comme si quand on gère bien le premier coup, il en fallait un second immédiatement pour nous prouver qu'on ne peut pas tout gérer.
Juste un petit mot parce que j'en ai plus qu'assez de me sentir responsable de personnes qui ne devraient plus compter pour moi, parce que les fantômes prennent un plaisir malin à renaître en cortège alors qu'on commence à peine à réussir à les éloigner un peu du devant de la scène, et parce que c'est pas juste que le détail, la goutte d'eau qui fait déborder le tout soit justement la plus insignifiante de toute, celle qui habituellement ne me toucherait pas tellement.
Juste un petit mot, parce que j'ai envie de croire en l'avenir, mais que je n'ose plus le faire. Parce que c'est injuste, c'est terriblement injuste de ne pas oser croire en l'avenir alors qu'on n'a que 21 ans.
juste un petit mot enfin pour vous remercier toutes d'exister, au moins virtuellement pour moi, parce que je pense qu'aujourd'hui replonger dans nos bêtises quotidiennes, c'est une des seules choses qui peut me faire sourire.
Le doigt effleure la nervure fragile de la feuille.
Papier froissé dans une corbeille, expression d'une rage incontrôlée. Expression d'une douleur non maîtrisée.
Papier lissé dans une enveloppe cachetée, refus d'ouvrir les yeux. Expression d'une volonté farouche de continuer à aller bien malgré tout
Papier imprimé, lettres droites, italiques, saut de ligne, saut de page. Maitrise de Word, expression d'un désinterêt de l'homme. Sentiments effacés. Efficacité de rigueur.
Papier brouillon, grossier, raturé. Hésitation, tergiversation, manque de confiance en soi, désarroi. Débordément de sentiments auréolés parfois de sels humains.
La fragilité de la nervure de la feuille me renvoie l'angoisse de cette page blanche.
Page blanche versus papier noirci
Pureté versus saleté.
Silence versus cri.
Liberté contre Enchainement.
c'est dit, je hais les mecs.
je vais me faire bonne soeur ou lesbienne
ou les deux.
Courage ma lea, je suis de tout coeur avec toi... Les mecs sont parfois très cons, c'est vrai. Le plus dur, c'est lorsqu'on croit que celui-là est différent, et que finalement non. Mais ils existent, je te jure... Il faut juste les trouver, alors ne gâche pas tes chances et ne sois pas fataliste surtout!
Oui encore une plainte vis à vis du soi disant sexe fort. Là j'avoue il a gagné à mon détriment. Non pas une peine de coeur mais une peine de boulot.
Flashback :
"dis Chef tu choisis l'entreprise A ou la B ?"
-Viens avec moi dans la A ..."
J'adore mon chef, j'adore bosser avec lui les 2 m'indiffèrent et il a plutot des bonnes infos ...
Zou vers la A !
Présent, 3 ans après : 3 ans de galère innomables chez A
"Au fait je t'ai pas dit ? je vais chez B à partir de début juin..."
Je regarde mon téléphone d'ou sort la voix de mon ex chef. Lui a l'opportunité de s'enfuir, pas moi ...
Brisez-moi cette coquille de Caliméro qui s'accroche à ma tête, non de Zeus !!!!
Parce que des fois on voudrait juste que les choses soient putain de plus simple.
Parce qu'on voudrait juste oublier
Parce qu'on voudrait que l'innocence persiste, que l'insousiance résiste
Parce que j'en ai marre de pleurer
Parce que le monde est con
Parce que je ne veux plus voir les gens que j'aime souffrir
Parce que je voudrais pouvoir être là
Parce qu'il n'y a rien à faire
Parce que je ne supporte pas mon impuissance
Parce que je sais qu'elle va mal
Parce que ça me tue
Parce que ça tourne dans ma tête sans s'arrêter, que je n'ai pas le temps, que j'ai des putains de partiels mercredi qui m'empêchent de sauter dans un train.
Parce que je ne supporte pas l'idée de ne pas être à ses côtés
Parce qu'il n'y a rien à faire, rien que je ne puisse faire, rien qu'elle ne puisse vraiment faire non plus
Parce que la vie peut vraiment être une pétasse alors que les choses pourraient être si simples.
Parce ce que j'en ai assez
Parce que la vie est injuste
Parce que nous ne sommes que des grains de sable incapables d'enrayer l'horreur, ni même de la soulager
Je suis de tout coeur avec toi.
Mais aussi
Parce que sans la souffrance le bonheur n'aurait pas de sens
Parce que la seule chose qui soutienne dans le malheur c'est de savoir que les autres pensent à vous en silence
Ne te sens pas inutile lea, je suis certaine qu'à ta manière tu l'aideras à traverser cette épreuve, quelle qu'elle soit...
Je suis moins douée avec les mots que Lili je me permets de simplement reprendre les siens.
L'important c'est d'être à ses côtés, sinon physiquement au moins de toutes les autres façons qui soient. Elle sait que tu es là, prête à tout pour lui venir en aide et je crois que c'est déjà beaucoup.
On dit souvent que c'est l'intention qui compte, et te savoir prête à sauter dans un train pour la tirer de ses malheurs quoiqu'il t'en coute je crois que ça lui réchauffe déjà le coeur.
Et quand enfin vous serez réunies, tu pourras la guérir.
Courage ma Léa.
merci les filles, ce matin après une bonne crise de trouille bleue hier soir, après m'être complètement vidée sur une pauvre feuille word qui ne m'avait rien demandée, je vais nettement mieux.
Remise des choses en perspectives
et juste capable, du coup, d'être là et d'écouter.
Arrivée un peu après la bataille, les mots ne viennent pourtant pas plus facilement.
Que dire? Que garder espoir est le meilleur remède?
Que le fait que tu sois déjà là, à y penser à en parler, prouve que tu fais déjà beaucoup?
Que tu sauras certainement l'écouter, voir même la comprendre est que c'est déjà pas mal.
Que tout ne dépend pas de toi, mais ton soutien peut valoir une fortune?
Courage ma léa ! Et continue à noircir des pages Word !
(HS : Bientôt le mot "Fin" alors?)
Bon c'est super con de faire émerger ce topic pour un truc aussi ridicule mais :
1) Le titre de mon message annonce clairement la couleur (lol, je me marre toute seule, vous comprendrez pourquoi après!^^)
2) Lorsqu'elle a ouvert ce topic, babou disait bien "Neptune Hospital est le lieu pour pousser vos coups de gueule, vous épancher sur vos petits soucis , vos peines de coeur et raconter vos coups de cafard et de calgon."
Donc...
Ben voilà, j'ai pas le moral... Depuis des mois j'ai envie de me teindre en brune et ce mation c'était la transformation! Dès que je suis rentrée, j'ai organisé sur mon facebook un vote pour savoir ce que mes proches en pensent... Résultat: le blond l'emporte largement (en fait, seule ma cousine de 16 ans aime bien le brun! mdr)!
Bon, j'essaie de voir le côté positif (à moi et à mon homme ça nous plaît, j'ai des amis sincères, je peux changer si je veux...) mais là j'ai juste une grosse grosse envie de pleurer. Ben oui, j'en suis à mon dixième jour sans cigarette, lundi c'est la rentrée et je ne sais toujours pas où je suis affectée, j'arrive pas à écrire comme je le voudrais, et maintenant on me considère comme une défigurée!
Bon ok, je suis d'accord que c'est pas la fin du monde... N'empêche que là j'ai du mal à gérer... Voilà, j'avais juste envie de m'épancher, merci à ceux ou celles qui ont pris la peine de lire mes débilités!